La modélisation que nous avons mise au point précise les couts d'exploitation : en matière de correspondants locaux, infrastructure par département/région, plateforme téléphonique…Ces couts évoluent bien sûr en fonction des volumes de transactions et des territoires desservis. Nous avons aussi chiffré les investissements initiaux en logiciels et réseaux et les frais de démarrage (zone pilote + élargissement progressif). Le cout direct et complet des transactions devra être couvert par les abonnés en fonction de leur moyens, abondés si nécessaire par les collectivités dans le cadre de l’aide à la personne et la lutte contre l’exclusion. Le business model permet aussi de chiffrer les créations d'emploi en fonction de l'étendue de territoire traité.